L’Étiopathie est une méthode de soin mécanique, manuelle et naturelle, qui s’inscrit dans la lignée des Rebouteux.
L’Étiopathie a pour objectif de rechercher les causes d’une pathologie et agit sur l’ensemble du corps humain.
Elle s’adapte à tout le monde, du nourrisson au senior, en passant par la femme enceinte et le sportif.
L’étiopathe travaille essentiellement sur
- Les blocages articulaires,
- Les tensions musculaires,
- l’abdomen et le petit bassin : digestions difficiles, ballonnements, règles douloureuses …
- Les troubles nerveux de type névralgie comme la sciatique …
- Les vertiges,
- Les migraines et céphalées…
La formation: un enseignement exigeant
Tous les étiopathes sont formés pendant 6 ans dans l’une des quatre facultés de France: Paris, Lyon, Rennes ou Toulouse. Ils étudient l’anatomie, la physiologie, les pathologies, et les techniques manuelles nécessaires à sa pratique.
Cette formation ne compte pas moins de 3 250 heures de cours théoriques et pratiques enrichis de nombreux stages en cabinet et aux urgences hospitalières.
A ce jour, plus de 500 praticiens sont installés dans tout le Pays, sans compter ceux qui exercent à l’étranger. Cela correspond à plus de 750 000 consultations dispensées chaque année.
Comment se passe la séance ?
La séance se passe en deux parties:
- Un entretien pour faire le point sur l’état général de santé du patient et l’objet de sa consultation, complété par un examen clinique.
- L’étiopathe intervient ensuite par des gestes simples, précis et rapides.
Les traitements étiopathiques sont de courte durée (3 à 6 interventions en moyenne). Un plus grand nombre d’interventions sera nécessaire dans certains cas très aigus, complexes, ou installés depuis de nombreux mois ou années.
Quelles sont les limites de l’Étiopathie ?
S’il y a lieu, votre étiopathe vous réorientera vers un praticien compétent lorsque la pathologie échappe au champ d’action de l’étiopathie.
A titre d’exemple, l’Étiopathie n’intervient pas sur des pathologies lourdes, à des stades avancés ou au pronostic vital engagé (diabète, cancer, Alzheimer…), lors de traitements de chimiothérapie ou de radiothérapie, sur les lésions sévères ou irréversibles, sur les troubles psychologiques importants (dépressions sévères, phobies…), lors d’infections virales ou bactériennes sévères.
